A l’issue de l’audience, le secrétaire général et porte-parole de la CENCO, l’abbé Donatien Nsholé Babula, a expliqué que la crise politique que traverse la République démocratique du Congo (RDC) oblige les dirigeants de ce pays à solliciter le concours des pays amis et voisins. Leur implication apportera quelque chose de positive dans la perspective de satisfaire les aspirations du peuple congolais, a-t-il précisé.
«C’est pourquoi nous avons pensé rencontrer le Président Denis Sassou N'Guesso, qui est également le Président en exercice de la CIRGL, parce qu’il est chargé du suivi du mécanisme paix et sécurité en RDC et dans la Région des Grands Lacs, en vue de partager avec lui nos convictions qui se résument à ce qu’il est indispensable de mettre en application l’accord du 31 décembre 2016 qui prévoit l’organisation des élections générales libres et transparentes pour arrêter la crise en RDC», a-t-il dit l’abbé Donatien Nsholé Babula.
Pour lui, la marche organisée le 31 décembre dernier à Kinshasa a été un fait à ne pas négliger. Car, plus que si l’on n’y prend garde, la RDC pourrait vivre le pire, a-t-il fait comprendre. Les participants à cette marche ont été violemment dispersés par la force publique.
Le porte-parole de la CENCO a indiqué qu’il était satisfait de l’entretien, tant le Président Denis Sassou N’Guesso s’est montré très attentif au message délivré par la délégation de la CENCO et qu’il a réitéré son engagement d’user de son pouvoir pour que les élections en RDC se tiennent en décembre 2018.
« Je pense que ceux qui ont fixé cette date du 31 décembre 2018 l'ont fait en conséquence et d'ailleurs la CENCO pensait que ça serait même possible plus tôt. Donc, nous n'avons pas de doute que c'est faisable», a conclu le porte-parole de la CENCO.
En rappel, le 31 décembre dernier, la CENCO a obtenu la signature de l’accord politique par les parties prenantes aux négociations directes qui se sont tenues au Centre interdiocésain.
Le pouvoir et l’opposition de la RDC se sont accordés sur les modalités de gestion du pays jusqu’à l’élection du nouveau chef de l’État qui va succéder à Joseph Kabila dont le dernier mandat constitutionnel s’est achevé le 19 décembre dernier.
«C’est pourquoi nous avons pensé rencontrer le Président Denis Sassou N'Guesso, qui est également le Président en exercice de la CIRGL, parce qu’il est chargé du suivi du mécanisme paix et sécurité en RDC et dans la Région des Grands Lacs, en vue de partager avec lui nos convictions qui se résument à ce qu’il est indispensable de mettre en application l’accord du 31 décembre 2016 qui prévoit l’organisation des élections générales libres et transparentes pour arrêter la crise en RDC», a-t-il dit l’abbé Donatien Nsholé Babula.
Pour lui, la marche organisée le 31 décembre dernier à Kinshasa a été un fait à ne pas négliger. Car, plus que si l’on n’y prend garde, la RDC pourrait vivre le pire, a-t-il fait comprendre. Les participants à cette marche ont été violemment dispersés par la force publique.
Le porte-parole de la CENCO a indiqué qu’il était satisfait de l’entretien, tant le Président Denis Sassou N’Guesso s’est montré très attentif au message délivré par la délégation de la CENCO et qu’il a réitéré son engagement d’user de son pouvoir pour que les élections en RDC se tiennent en décembre 2018.
« Je pense que ceux qui ont fixé cette date du 31 décembre 2018 l'ont fait en conséquence et d'ailleurs la CENCO pensait que ça serait même possible plus tôt. Donc, nous n'avons pas de doute que c'est faisable», a conclu le porte-parole de la CENCO.
En rappel, le 31 décembre dernier, la CENCO a obtenu la signature de l’accord politique par les parties prenantes aux négociations directes qui se sont tenues au Centre interdiocésain.
Le pouvoir et l’opposition de la RDC se sont accordés sur les modalités de gestion du pays jusqu’à l’élection du nouveau chef de l’État qui va succéder à Joseph Kabila dont le dernier mandat constitutionnel s’est achevé le 19 décembre dernier.