Denis Sassou N’Guesso a d’abord rappelé les différentes rencontres qui ont été organisées sur la crise libyenne, à l’initiative de l’UA, de l’Union européenne (UE), des Nations unies et d’autres partenaires.
«Dès lors, le Comité de haut niveau soumet à votre haute attention une feuille de route pour la Libye, qui prévoit l’organisation en juillet 2019, ici même à Addis-Abeba, du forum inter-Libyen exclusif de réconciliation nationale. C’est le chemin pragmatique et réaliste de sortie de crise en vue d’un processus électorale apaisé en Libye », a-t-il déclaré.
La feuille de route vise à lever les incompréhensions entre les Nations unies et l’UA sur la tenue d’un forum de réconciliation avant les élections générales ; surmonter l’absence de consultations régulières entre ces deux organisations ; tenir les engagements pris lors des rencontres entre la commission de l’UA, le comité de haut niveau et les Nations unies.
Mais, aussi à juguler les incohérences au sein du comité de haut niveau pour permettre à l’Afrique de parler d’une seule et même voix sur la Libye ; aplanir les divergences entre les Libyens eux-mêmes ; et à harmoniser les initiatives isolées de certains pays avec les stratégies des Nations unies et de l’UA.
«Dès lors, le Comité de haut niveau soumet à votre haute attention une feuille de route pour la Libye, qui prévoit l’organisation en juillet 2019, ici même à Addis-Abeba, du forum inter-Libyen exclusif de réconciliation nationale. C’est le chemin pragmatique et réaliste de sortie de crise en vue d’un processus électorale apaisé en Libye », a-t-il déclaré.
La feuille de route vise à lever les incompréhensions entre les Nations unies et l’UA sur la tenue d’un forum de réconciliation avant les élections générales ; surmonter l’absence de consultations régulières entre ces deux organisations ; tenir les engagements pris lors des rencontres entre la commission de l’UA, le comité de haut niveau et les Nations unies.
Mais, aussi à juguler les incohérences au sein du comité de haut niveau pour permettre à l’Afrique de parler d’une seule et même voix sur la Libye ; aplanir les divergences entre les Libyens eux-mêmes ; et à harmoniser les initiatives isolées de certains pays avec les stratégies des Nations unies et de l’UA.