
Elu au terme du second tour de la présidentielle de décembre dernier, George Weah a prêté serment le 22 janvier 2018, devant le président de la Cour suprême, Francis Korkpor.
Réagissant après la cérémonie, Mr Weah a dit : «J'ai passé beaucoup d'années de ma vie dans des stades, mais le sentiment que j'éprouve aujourd'hui est incomparable. Unis, nous sommes certains de réussir en tant que nation. Divisés, nous sommes certains d'échouer ».
Il rendu hommage à la présidente sortante, Ellen Johnson Sirleaf, pour les efforts consentis en vue de la consolidation de la paix dans le pays et pour avoir placé son mandat sous le signe de la lutte contre la corruption. «Nous devons à nos concitoyens la clarté sur des questions fondamentales comme la propriété du sol, la liberté d’expression et le partage des ressources et des responsabilités », a déclaré George Weah.
George Weah, Président démocratiquement élu au suffrage universel, succède à Ellen Johnson Sirleaf, Présidente démocratiquement élu au suffrage universel face à George Weah en 2005. C’est une première dans l’histoire du Liberia.
George Weah a prêté serment en présence de plusieurs autres Chefs d’Etat et de gouvernement. Parmi lesquels le Congolais Denis Sassou N’Guesso du Congo ; Alpha Condé de la Guinéen, également Président en exercice de l’UA ; Faure Gnassingbé du Togo.
Il y avait aussi Nana Akufo-Ado du Ghana ; Ali Bongo Ondimba du Gabon ; Ibrahim Boubacar Keïta du Mali ; Macky Sall du Sénégal ; Ernest Bai Koroma de Sierra-Leone. Mais la vice-Présidente gambienne, Fatoumata Tambajang ; et de l’international camerounais Samuel Eto'o.
Le Chef de l’Etat congolais, Denis Sassou N’Guesso, a quitté Brazzaville dimanche à 14h 23 minutes est arrivé dans la capitale libérienne dans la soirée. Il a été par la suite chaleureusement accueilli par George Weah, qui l’a invité et avec qui ils ont eu un tête-tête qualifiée de cordiale, selon la délégation congolaise.
Les entretiens entre les deux Chefs d’Etat ont porté sur la paix et la sécurité ; les cours des matières premières sur le marché international et surtout ; la lutte contre le terrorisme ; du 30ème sommet de l’Union Africaine (UA).
Même si cela n’a pas filtré, les questions de la gouvernance d’un pays post-conflit ont, sans doute, figuré parmi les points évoqués par les deux hommes. George Weah dont le pays sort d’une guerre civile de plus d’une décennie, pourrait avoir besoin de l’expérience de Denis Sassou N’Guesso.
Monrovia est la première étape de son voyage qui va le conduire jusqu’à Abou Dhabi, aux Emirats Arabes Unis, et Addis-Abeba, en Ethiopie.
Il y avait aussi Nana Akufo-Ado du Ghana ; Ali Bongo Ondimba du Gabon ; Ibrahim Boubacar Keïta du Mali ; Macky Sall du Sénégal ; Ernest Bai Koroma de Sierra-Leone. Mais la vice-Présidente gambienne, Fatoumata Tambajang ; et de l’international camerounais Samuel Eto'o.
Le Chef de l’Etat congolais, Denis Sassou N’Guesso, a quitté Brazzaville dimanche à 14h 23 minutes est arrivé dans la capitale libérienne dans la soirée. Il a été par la suite chaleureusement accueilli par George Weah, qui l’a invité et avec qui ils ont eu un tête-tête qualifiée de cordiale, selon la délégation congolaise.
Les entretiens entre les deux Chefs d’Etat ont porté sur la paix et la sécurité ; les cours des matières premières sur le marché international et surtout ; la lutte contre le terrorisme ; du 30ème sommet de l’Union Africaine (UA).
Même si cela n’a pas filtré, les questions de la gouvernance d’un pays post-conflit ont, sans doute, figuré parmi les points évoqués par les deux hommes. George Weah dont le pays sort d’une guerre civile de plus d’une décennie, pourrait avoir besoin de l’expérience de Denis Sassou N’Guesso.
Monrovia est la première étape de son voyage qui va le conduire jusqu’à Abou Dhabi, aux Emirats Arabes Unis, et Addis-Abeba, en Ethiopie.