
Photo d’illustration
Au Congo, la journée a été célébrée sous le thème : « Tous pour une nutrition saine et équilibrée pour chaque enfant du Congo ». Micaela Marques de Sousa a expliqué devant les parlementaires des deux chambres que des études menées au Congo font état de 60.000 enfants qui risquent de mourir chaque année à cause de la malnutrition, plus de 200.000 enfants de moins de 5 ans n’atteignent jamais leur pleine croissance physique et mentale.
Elle a développé qu'au niveau mondial, le nombre d’enfants souffrant du retard de croissance ne cesse d’augmenter. De 50,4 millions en 2000, il est passé à 58,5 millions en 2016. Les conséquences de la malnutrition sont néfastes sur la survie, le développement cognitif et physique des enfants.
Le délégué des enfants, Lilian Ngouilou, a fait savoir qu’un enfant mal nourri avait moins de chance de bien grandir et d’avoir un futur meilleur. Il a ajouté que sans nourriture, ce dernier ne peut pas étudier et que pour contribuer à la lutte contre la malnutrition, les parlementaires devraient adopter des lois visant à contrôler les produits vendus dans les marchés ; à créer des centres et clubs de sport.
La représentante de l’UNICEF a remis aux parlementaires des livres intitulés : «Ce que les parlementaires peuvent faire dans la lutte contre la malnutrition ». Elle a exhorté les parents d'enfants ont été exhortés à veiller sur l’alimentation de leurs enfants pour leur éviter des insuffisances alimentaires.
La journée mondiale de l'enfance constitue un moment important pour sensibiliser les autorités et la population sur le respect des droits de l’enfant en matière nutritionnelle.
Elle a développé qu'au niveau mondial, le nombre d’enfants souffrant du retard de croissance ne cesse d’augmenter. De 50,4 millions en 2000, il est passé à 58,5 millions en 2016. Les conséquences de la malnutrition sont néfastes sur la survie, le développement cognitif et physique des enfants.
Le délégué des enfants, Lilian Ngouilou, a fait savoir qu’un enfant mal nourri avait moins de chance de bien grandir et d’avoir un futur meilleur. Il a ajouté que sans nourriture, ce dernier ne peut pas étudier et que pour contribuer à la lutte contre la malnutrition, les parlementaires devraient adopter des lois visant à contrôler les produits vendus dans les marchés ; à créer des centres et clubs de sport.
La représentante de l’UNICEF a remis aux parlementaires des livres intitulés : «Ce que les parlementaires peuvent faire dans la lutte contre la malnutrition ». Elle a exhorté les parents d'enfants ont été exhortés à veiller sur l’alimentation de leurs enfants pour leur éviter des insuffisances alimentaires.
La journée mondiale de l'enfance constitue un moment important pour sensibiliser les autorités et la population sur le respect des droits de l’enfant en matière nutritionnelle.