
Une vue de la salle
La 16è journée mondiale du réfugié est célébrée sous le thème : « Rêves et espoirs pour un lendemain meilleur », elle est organisée en l’honneur des réfugiés, des demandeurs d’asile, des personnes déplacées, des apatrides et des personnes de retour dans leur pays du monde entier et ce, afin de saluer leur envie et leur espoir en une vie meilleure.
En ce qui concerne le Congo il est le refuge des nations de la RDC, RCA et Angola ces différentes nations ont animé et agrémenté tour à tour la dite cérémonie en présence des autorités de la place et des institutions en charge des réfugiés.
Le mot du réfugié lu par Hélène Bengremian a rappelé à l’intention de la communauté internationale que le réfugié attend aussi et surtout des solutions durables à sa situation, il s’agit entre autre du rapatriement volontaire, de l’intégration sociale et locale et de la réinstallation dans un autre pays devant ainsi et aussi resté une option ouverte conformément au norme et pratique internationale.
Représentant du Haut-Commissaire des réfugiés M. Traoré Ibrahim a laissé entendre que : « Le 20 juin de chaque année le HCR, l’agence des nations unies pour les réfugiés célèbre la journée mondiale du réfugié pour mettre en lumière le courage et la résilience des familles forcées de fuir la guerre ou la percussion et chaque année le HCR s’efforce de trouver une lueur d’espoir dans les statistiques mondiale que nous publions afin de démontrer que le monde parvient à trouver des solutions durables pour aider à guérir le traumatisme subit au quotidien par les réfugiés cette année toutefois de trouver des signes d’espoir de faire une ombre de la complexité et de la nature prolongée des conflits le déplacement forcé atteint aujourd’hui un niveau sans précédent depuis la création des Nations Unies ».
Il a ajouté que, plus de 60millions de personnes déracinées dans le monde pas un jour ne passe sans qu’une nouvelle tragédie de réfugié ne soit annoncé dans les médias sans que l’on voit des enfants, des mères des pères perdent la vie en tentant désespérément de fuir la violence. Dans ce contexte tragique des niveaux inquiétant de xénophobies ainsi que d’hostilité de la rhétorique sur les questions d’asile et de migration font peser une menace sur les accords internationaux qui protègent les personnes forcées à fuir la guerre ou la percussion au lieu d’un partage équitable, nous assistons à la fermeture des frontières et voyons la volonté politique cédé à la paralysie politique.
Selon les estimations le nombre des personnes qui ont traversé les frontières de leur pays d’origine et en quête de protections internationale s’élève actuellement à plus de 20 millions à ce jour la République du Congo en compte près de 55 milles pays d’accueil il est cependant impossible de mesurer ou de quantifier les peines qu’ils ont eu chaque jour qui passe » a souligné le ministre des Affaires Sociales, de l'Action Humanitaire et de la Solidarité, Antoinette Dinga Djondo.
« Ces femmes, ces hommes et ces enfants qui surpris par des conflits dont ils ignorent les tenants et les aboutissants sont contraint de fuir leur pays pour des destinations incertaines. Dans cette optique la restauration de la paix dans les pays actuellement en crise d’une part la prévention et le règlement pacifique des conflits d’autre part devrait constituer notre cheval de batail, c’est la condition précaire au retour des milliers de personnes déplacés, c’est l’occasion et le lieu de se féliciter du rétablissement de l’ordre constitutionnel et de retour à la paix en République Centrafricaine gage sûr pour un retour sécurisé de ses filles et fils dispersé à travers la sous-région » a-t-elle poursuivi.
Cette cérémonie s’est clore par une remise de prix (kits scolaires) à 29 candidats reparti en différent groupe qui ont concouru le 17 juin dernier lors des ateliers de peinture, de dessin, de poésie organisés par la société de téléphonie mobile MTN Congo et par la visite des stands exposant les produits et les réalisations des réfugiés en terre congolaise.
En ce qui concerne le Congo il est le refuge des nations de la RDC, RCA et Angola ces différentes nations ont animé et agrémenté tour à tour la dite cérémonie en présence des autorités de la place et des institutions en charge des réfugiés.
Le mot du réfugié lu par Hélène Bengremian a rappelé à l’intention de la communauté internationale que le réfugié attend aussi et surtout des solutions durables à sa situation, il s’agit entre autre du rapatriement volontaire, de l’intégration sociale et locale et de la réinstallation dans un autre pays devant ainsi et aussi resté une option ouverte conformément au norme et pratique internationale.
Représentant du Haut-Commissaire des réfugiés M. Traoré Ibrahim a laissé entendre que : « Le 20 juin de chaque année le HCR, l’agence des nations unies pour les réfugiés célèbre la journée mondiale du réfugié pour mettre en lumière le courage et la résilience des familles forcées de fuir la guerre ou la percussion et chaque année le HCR s’efforce de trouver une lueur d’espoir dans les statistiques mondiale que nous publions afin de démontrer que le monde parvient à trouver des solutions durables pour aider à guérir le traumatisme subit au quotidien par les réfugiés cette année toutefois de trouver des signes d’espoir de faire une ombre de la complexité et de la nature prolongée des conflits le déplacement forcé atteint aujourd’hui un niveau sans précédent depuis la création des Nations Unies ».
Il a ajouté que, plus de 60millions de personnes déracinées dans le monde pas un jour ne passe sans qu’une nouvelle tragédie de réfugié ne soit annoncé dans les médias sans que l’on voit des enfants, des mères des pères perdent la vie en tentant désespérément de fuir la violence. Dans ce contexte tragique des niveaux inquiétant de xénophobies ainsi que d’hostilité de la rhétorique sur les questions d’asile et de migration font peser une menace sur les accords internationaux qui protègent les personnes forcées à fuir la guerre ou la percussion au lieu d’un partage équitable, nous assistons à la fermeture des frontières et voyons la volonté politique cédé à la paralysie politique.
Selon les estimations le nombre des personnes qui ont traversé les frontières de leur pays d’origine et en quête de protections internationale s’élève actuellement à plus de 20 millions à ce jour la République du Congo en compte près de 55 milles pays d’accueil il est cependant impossible de mesurer ou de quantifier les peines qu’ils ont eu chaque jour qui passe » a souligné le ministre des Affaires Sociales, de l'Action Humanitaire et de la Solidarité, Antoinette Dinga Djondo.
« Ces femmes, ces hommes et ces enfants qui surpris par des conflits dont ils ignorent les tenants et les aboutissants sont contraint de fuir leur pays pour des destinations incertaines. Dans cette optique la restauration de la paix dans les pays actuellement en crise d’une part la prévention et le règlement pacifique des conflits d’autre part devrait constituer notre cheval de batail, c’est la condition précaire au retour des milliers de personnes déplacés, c’est l’occasion et le lieu de se féliciter du rétablissement de l’ordre constitutionnel et de retour à la paix en République Centrafricaine gage sûr pour un retour sécurisé de ses filles et fils dispersé à travers la sous-région » a-t-elle poursuivi.
Cette cérémonie s’est clore par une remise de prix (kits scolaires) à 29 candidats reparti en différent groupe qui ont concouru le 17 juin dernier lors des ateliers de peinture, de dessin, de poésie organisés par la société de téléphonie mobile MTN Congo et par la visite des stands exposant les produits et les réalisations des réfugiés en terre congolaise.