Le point sur la situation réelle de la planification stratégique sectorielle a été fait au cours d’un atelier organisé du 22 au 23 juin à Brazzaville. Troisième du genre, cet atelier qui a constitué une nouvelle étape dans la préparation du plan national d’affectation des terres, a permis de présenter les résultats des analyses menées par WRI pour recenser les plans, stratégies et d’autres orientations sectorielles qui abordent des questions des terres.
Les participants ont analysé les stratégies sectorielles de planification afin de déceler les éventuelles lacunes et les besoins spécifiques réels, notamment dans la production des plans et d’autres outils techniques. Il s’est agi, en clair, de déterminer les besoins spécifiques de chaque administration sectorielle en matière spatiale pour mieux les intégrer dans la planification globale de l’affectation des terres.
Les communications ont porté sur «les objectifs et évolution des activités» ; «l’aménagement du territoire dans le contexte du développement» ; «la planification multisectorielle : évaluation et opportunités» ; «la planification multisectorielle : prochaines étapes» ; «la planification multisectorielle : forêts et autres espaces naturels» ; «la planification multisectorielle : mines et infrastructures» ; «la planification multisectorielle : agriculture».
Les contributions des participants ont permis de compléter les autres outils stratégiques comme les schémas départementaux ; les schémas directeurs des villes ; l’élaboration des plans de zonage du territoire en zones spécifique avec une répartition des activités à l’intérieur desdites zones.
L’atelier a été ouvert par le directeur de cabinet du ministre de l’Aménagement du territoire et des Grands travaux, Dieudonné Bantsimba, en présence du représentant résident de la Banque mondiale au Congo et du représentant du WRI.
Les participants ont analysé les stratégies sectorielles de planification afin de déceler les éventuelles lacunes et les besoins spécifiques réels, notamment dans la production des plans et d’autres outils techniques. Il s’est agi, en clair, de déterminer les besoins spécifiques de chaque administration sectorielle en matière spatiale pour mieux les intégrer dans la planification globale de l’affectation des terres.
Les communications ont porté sur «les objectifs et évolution des activités» ; «l’aménagement du territoire dans le contexte du développement» ; «la planification multisectorielle : évaluation et opportunités» ; «la planification multisectorielle : prochaines étapes» ; «la planification multisectorielle : forêts et autres espaces naturels» ; «la planification multisectorielle : mines et infrastructures» ; «la planification multisectorielle : agriculture».
Les contributions des participants ont permis de compléter les autres outils stratégiques comme les schémas départementaux ; les schémas directeurs des villes ; l’élaboration des plans de zonage du territoire en zones spécifique avec une répartition des activités à l’intérieur desdites zones.
L’atelier a été ouvert par le directeur de cabinet du ministre de l’Aménagement du territoire et des Grands travaux, Dieudonné Bantsimba, en présence du représentant résident de la Banque mondiale au Congo et du représentant du WRI.