Le document a été signé, du côté congolais, par le Premier ministre Clément Mouamba, et du côté du Vatican par son Secrétaire d’Etat, le cardinal Pierto Parolin, qui effectuait sa première visite au Congo-Brazzaville.
L’Accord-cadre fixe le cadre juridique des relations entre l’Eglise Catholique et la République du Congo, tout en sauvegardant l’indépendance et l’autonomie de chaque Etat. Il couvre les domaines diplomatique, politique, socioculturel, scientifique, sanitaire, éducationnel, etc.
Selon le cardinal Piétro Parolin, cet accord-cadre est bénéfique matériellement et spirituellement pour le Saint-Siège et le Congo. Il est à la fois bénéfique pour l’Eglise catholique et pour la population congolaise et les différentes confessions religieuses, d’autant plus qu’il affirme le principe de la liberté religieuse.
«La signature de l’accord démontre que nous devons continuer la collaboration pour le bien de la population au plan matériel et spirituel. Notre vision c’est le fondement de tous les droits humains, et la possibilité de collaborer dans différents domaines pour le bien être de la population et de la société», a ajouté le cardinal Pierto Parolin.
Il a expliqué que «l’activité de l’Eglise catholique au Congo est désormais encadré». Cela changera la forme des relations entre le Congo et le Saint-Siège après la signature de cet accord-cadre.
L’accord qui a été signé en présence du Président congolais Denis Sassou N’Guesso. Les relations diplomatiques entre le Congo et le Saint-Siège datent du 31 janvier 1977.
Le Secrétaire d’Etat du Vatican qui a rang de Premier ministre.
L’Accord-cadre fixe le cadre juridique des relations entre l’Eglise Catholique et la République du Congo, tout en sauvegardant l’indépendance et l’autonomie de chaque Etat. Il couvre les domaines diplomatique, politique, socioculturel, scientifique, sanitaire, éducationnel, etc.
Selon le cardinal Piétro Parolin, cet accord-cadre est bénéfique matériellement et spirituellement pour le Saint-Siège et le Congo. Il est à la fois bénéfique pour l’Eglise catholique et pour la population congolaise et les différentes confessions religieuses, d’autant plus qu’il affirme le principe de la liberté religieuse.
«La signature de l’accord démontre que nous devons continuer la collaboration pour le bien de la population au plan matériel et spirituel. Notre vision c’est le fondement de tous les droits humains, et la possibilité de collaborer dans différents domaines pour le bien être de la population et de la société», a ajouté le cardinal Pierto Parolin.
Il a expliqué que «l’activité de l’Eglise catholique au Congo est désormais encadré». Cela changera la forme des relations entre le Congo et le Saint-Siège après la signature de cet accord-cadre.
L’accord qui a été signé en présence du Président congolais Denis Sassou N’Guesso. Les relations diplomatiques entre le Congo et le Saint-Siège datent du 31 janvier 1977.
Le Secrétaire d’Etat du Vatican qui a rang de Premier ministre.